lundi 2 décembre 2013
lundi 11 novembre 2013
CARTOLA
Angenor de Oliveira, plus connu sous le
pseudonyme Cartola, était un compositeur de samba né le 11 octobre
1908, décédé le 30 novembre 1980 à Rio de Janeiro.
Le surnom Cartola veut dire en français chapeau claque. Ce sont ses collègues maçons qui l'ont appelé ainsi à cause du petit chapeau rond qu'il portait pour éviter que le ciment ne durcisse ses cheveux. Cartola est considéré comme l'un des plus grands compositeurs brésiliens, mais la musique ne lui a pas apporté la fortune. Pour survivre, il a exercé plusieurs petits boulots. Durant ses heures libres, il se consacrait à ses deux passions: le carnaval et la musique.
En 1928, alors qu'il n'a que 19 ans, Cartola crée l'école de samba Estação Primeira de Mangueira, une des plus populaires du Brésil. C'est lui qui a choisi les couleurs de l'école: le vert et le rose. Quand les gens lui faisaient remarquer que ces couleurs n'allaient pas du tout ensemble, il répondait: "Mais enfin, le vert est la couleur de l'espoir et le rose celle de l'amour. Est-il possible que l'amour n'aille pas avec l'espoir ? "
Dans les années 1930, il signe plusieurs compositions pour des chanteurs célèbres tels que Carmen Miranda et Francisco Alves. En 1945, Cartola disparaît complètement de la vie artistique de Rio. L'alcool, les désillusions amoureuses et artistiques ont failli le détruire. En 1950, le journaliste Sérgio Porto retrouve sa trace. Cartola a 42 ans et il est devenu laveur de voitures. Petit à petit, grâce à l'aide de Sérgio Porto, il revient sur la scène musicale de Rio.
En 1964, il ouvre, avec sa femme Dona Zica, le Zicartola, la première maison de samba à Rio de Janeiro. Dans les années 1960, le Zicartola va jouer un rôle fondamental dans la vie culturelle de Rio. Les plus illustres sambistes y donnent des concerts, et la nouvelle génération bossa-nova qui fréquente les lieux s'y nourrit de cette samba traditionnelle.
La consécration de Cartola en tant que musicien tarde à venir. C'est seulement en 1974, à 65 ans, qu'il enregistre son premier disque! En 1980, sa mort est pleurée comme il l'avait souhaité dans l'une de ses chansons : par tout le monde de Mangueira au son du pandeiro et du tamborim.
Cette mosaïque réalisée à la demande de Stéphane partira à Rio prochainement !
Le surnom Cartola veut dire en français chapeau claque. Ce sont ses collègues maçons qui l'ont appelé ainsi à cause du petit chapeau rond qu'il portait pour éviter que le ciment ne durcisse ses cheveux. Cartola est considéré comme l'un des plus grands compositeurs brésiliens, mais la musique ne lui a pas apporté la fortune. Pour survivre, il a exercé plusieurs petits boulots. Durant ses heures libres, il se consacrait à ses deux passions: le carnaval et la musique.
En 1928, alors qu'il n'a que 19 ans, Cartola crée l'école de samba Estação Primeira de Mangueira, une des plus populaires du Brésil. C'est lui qui a choisi les couleurs de l'école: le vert et le rose. Quand les gens lui faisaient remarquer que ces couleurs n'allaient pas du tout ensemble, il répondait: "Mais enfin, le vert est la couleur de l'espoir et le rose celle de l'amour. Est-il possible que l'amour n'aille pas avec l'espoir ? "
Dans les années 1930, il signe plusieurs compositions pour des chanteurs célèbres tels que Carmen Miranda et Francisco Alves. En 1945, Cartola disparaît complètement de la vie artistique de Rio. L'alcool, les désillusions amoureuses et artistiques ont failli le détruire. En 1950, le journaliste Sérgio Porto retrouve sa trace. Cartola a 42 ans et il est devenu laveur de voitures. Petit à petit, grâce à l'aide de Sérgio Porto, il revient sur la scène musicale de Rio.
En 1964, il ouvre, avec sa femme Dona Zica, le Zicartola, la première maison de samba à Rio de Janeiro. Dans les années 1960, le Zicartola va jouer un rôle fondamental dans la vie culturelle de Rio. Les plus illustres sambistes y donnent des concerts, et la nouvelle génération bossa-nova qui fréquente les lieux s'y nourrit de cette samba traditionnelle.
La consécration de Cartola en tant que musicien tarde à venir. C'est seulement en 1974, à 65 ans, qu'il enregistre son premier disque! En 1980, sa mort est pleurée comme il l'avait souhaité dans l'une de ses chansons : par tout le monde de Mangueira au son du pandeiro et du tamborim.
Cette mosaïque réalisée à la demande de Stéphane partira à Rio prochainement !
vendredi 20 septembre 2013
jeudi 1 août 2013
VACANCES 2013
De retour d'une "ballade" au cours de laquelle nous avons parcouru 2530 km, je vous fais découvrir ce que nous avons pu admirer.
1ère étape : le Viaduc de Garabit dans le Cantal
2ème Etape : La LLagonne dans les Pyrénées orientales :
pour y accéder, nous avons délaissé l'autoroute et nous avons choisi d'emprunter les gorges de l'Aude entre Carcassonne et La LLagonne, la route est assez difficile, mais une pure merveille pour les yeux
et bien sûr une halte pique nique :
La LLagonne, vues de notre chambre :
Dans les Pyrénées toujours, nous avons visités plusieurs endroits :
le village de Mathemale et son lac :
Mont Louis, ville fortifiée par Vauban
Puis Villefranche de Conflent, avec le fort Libéria, également fortifiée par Vauban
le four Solaire d'Odeillo - Font Romeu
Les bains de Saint Thomas, où nous allions tous les matins. L'eau sort naturellement à 58° et elle est rafraichie à 35 environ.
Puis, voici quelques vues des paysages et routes de montagne que nous empruntions tous les jours :
Retour par Chaudes Aigues dans l'Aveyron
1ère étape : le Viaduc de Garabit dans le Cantal
le viaduc construit par Eiffel |
le viaduc |
la terrasse de notre Hôtel |
la salle à manger |
vue de l'hôtel |
le viaduc la nuit |
notre hôtel |
2ème Etape : La LLagonne dans les Pyrénées orientales :
pour y accéder, nous avons délaissé l'autoroute et nous avons choisi d'emprunter les gorges de l'Aude entre Carcassonne et La LLagonne, la route est assez difficile, mais une pure merveille pour les yeux
et bien sûr une halte pique nique :
La LLagonne, vues de notre chambre :
Dans les Pyrénées toujours, nous avons visités plusieurs endroits :
le village de Mathemale et son lac :
Mont Louis, ville fortifiée par Vauban
le four Solaire d'Odeillo - Font Romeu
Les bains de Saint Thomas, où nous allions tous les matins. L'eau sort naturellement à 58° et elle est rafraichie à 35 environ.
Puis, voici quelques vues des paysages et routes de montagne que nous empruntions tous les jours :
Retour par Chaudes Aigues dans l'Aveyron
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